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EXTRAITS DE PRESSE

Dernière chronique d'album paru dans Blues Again - Juin 2022

  Le père, le fils et leur sacrée musique sont de  retour. Depuis une quinzaine d’années, David, suit le paternel, Vincent, sur les routes de France et de Navarre et c’est un cinquième album qui naît de leur collaboration fructueuse.
  Vincent fût un professeur émérite pour son rejeton surnommé à l’époque ‘Little Jimi’ qui dès son plus jeune âge s’est frotté à de grands noms du blues qui venaient jouer dans le café-concert de papa.
  Pour les soutenir, le batteur est Patrick Boileau et le bassiste, Etienne Callac qui, avec David, est aux chœurs. Et ceux-ci sont particulièrement soignés. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter ‘O’ Caroline’ de Robert Wyatt réarrangée pour les guitares, et ça sonne ! Ou bien ‘Man Of Constant Sorrow’ (Dick Burnett - BO du film O’ Brother). Avec ce titre, on est sur les traces de CSN&Y grâce à la délicatesse des arrangements qui est une marque de fabrique de la Family.
  Puisqu’on est au rayon « covers », citons aussi ‘Worried Life Blues’, l’iconique ‘Come On Into My Kitchen’ et enfin ‘My My, Hey Hey’ où la voix de Vincent semble survoler les deux guitares acoustiques, six et douze cordes. De la vraie dentelle. Reste au menu une huitaine de compositions signées par les deux Hofmann où l’on retrouve cette même musicalité qui est leur est chère.
  Avec la Hofmann Family, on est sous influence seventies. ‘Tell Me Why’ qui ouvre l’album aurait pu, par exemple, être un tube de CCR et puis il y a les mariages heureux des guitares acoustiques et électriques où les notes pleuvent de partout comme dans ‘Revolution Song’.
  Ce sont aussi des chansons qui sortent du registre « je t’aime / tu m’aimes » et cela décuple le plaisir de l’écoute tout comme dans ‘The Prophet’, ‘Get Away’ ou ‘Roll On Down The Road’. Avec sa « gueule » entre biker sauvage et envahisseur viking,
  Big Daddy a su emmener son fils et ses hommes sur des sentiers ou la sensibilité est maîtresse et la mélodie est reine. Je suis, une fois de plus, conquis par cet album.
       César

blues magazine
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Christian Le Morvan - N° 104 Avril 2022

BLUES MAGAZINE

  Attention ce ne sont pas des néophytes ! Tous on joué avec de grands artistes ( Calvin Russell, Dan Ar Braz, Pip Pyle, Moustaki, Wolf Mail,Martin Barre...).

  Depuis des décennies Vincent trimbale sa guitare et sa famille dans tout les coins de France. "FIVE" est le nom de leur...5ème album. Il comporte huit compos signée Vincent & David Hofmann et cinq standards comme "Worried Life Blues" ou "Come On Into My Kitchen", mais aussi un titre de Bluegrass "Man Of Constant Sorrow " revu et corrigé par le Band, un Folk avec "My My Hey Hey" de Neil Young, et un étonnant "0' Caroline" du grand Robert Wyatt (période Matching Mole) entièrement réarrangé pour guitares 12 et 6 cordes, plutôt très réussi, un grand moment du disque.

   Vincent Hofmann est très influencé par Neil Young et cela se ressent dans les interprétations. Ecoutez "My My Hey Hey", magnifiquement repris et l'intonation vocale de Vincent ne laisse aucun doute. L'album est musicalement bien ficelé, autant électrique qu'acoustique, ils n'ont pas à rougir de la concurrence et ça respire le travail bien fait. Un disque abouti, décliné en CD et en Double Vinyle, que je vous conseille vivement, ne serait ce que pour leur version superbement interprétée et revisitée de "0' Caroline" qui vaut le détour 

ZICAZIC

Fred Delforge (Prés. France Blues) - 02 Mars 2022

Usant avec panache d'influences rapportées de chez Jimi Hendrix, Eric Clapton et autre Neil Young, mettant l'accent sur le coté "Protest song" et nous réjouissant avec des sonorités très fortement teintées de couleur vintage du plus bel effet. On se laissera entrainer du coté de la Côte Ouest, du Tennessee, de Chicago, de la Louisiane, du Kentucky et on saluera la très grande lucidité des arrangements. Ce sont des morceaux de bravoure dans lesquels l'auditeur aime à se perdre pour mieux se retrouver l'instant d'après, avec des guitares à 6 et à 12 cordes, des Slides à faire frémir les plus aguerris, quelques belle parties d'orgue Hammond, un harmonica discret mais présent quand il le faut, un travail tout particulier sur le vocal avec de petits relents qui ne sont pas sans rappeler Crosby, Stills, Nash& Young, si Hofmann Family Blues Experience n'a inventé ni le Blues ni l'Americana, au moins ces Bretons d'adoption ont-ils tout compris de l'art de parfaitement les mettre en valeur.

Dernière chronique d'album paru dans Blues Again - Juin 2022

  Le père, le fils et leur sacrée musique sont de  retour. Depuis une quinzaine d’années, David, suit le paternel, Vincent, sur les routes de France et de Navarre et c’est un cinquième album qui naît de leur collaboration fructueuse.
  Vincent fût un professeur émérite pour son rejeton surnommé à l’époque ‘Little Jimi’ qui dès son plus jeune âge s’est frotté à de grands noms du blues qui venaient jouer dans le café-concert de papa.
  Pour les soutenir, le batteur est Patrick Boileau et le bassiste, Etienne Callac qui, avec David, est aux chœurs. Et ceux-ci sont particulièrement soignés. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter ‘O’ Caroline’ de Robert Wyatt réarrangée pour les guitares, et ça sonne ! Ou bien ‘Man Of Constant Sorrow’ (Dick Burnett - BO du film O’ Brother). Avec ce titre, on est sur les traces de CSN&Y grâce à la délicatesse des arrangements qui est une marque de fabrique de la Family.
  Puisqu’on est au rayon « covers », citons aussi ‘Worried Life Blues’, l’iconique ‘Come On Into My Kitchen’ et enfin ‘My My, Hey Hey’ où la voix de Vincent semble survoler les deux guitares acoustiques, six et douze cordes. De la vraie dentelle. Reste au menu une huitaine de compositions signées par les deux Hofmann où l’on retrouve cette même musicalité qui est leur est chère.
  Avec la Hofmann Family, on est sous influence seventies. ‘Tell Me Why’ qui ouvre l’album aurait pu, par exemple, être un tube de CCR et puis il y a les mariages heureux des guitares acoustiques et électriques où les notes pleuvent de partout comme dans ‘Revolution Song’.
  Ce sont aussi des chansons qui sortent du registre « je t’aime / tu m’aimes » et cela décuple le plaisir de l’écoute tout comme dans ‘The Prophet’, ‘Get Away’ ou ‘Roll On Down The Road’. Avec sa « gueule » entre biker sauvage et envahisseur viking,
  Big Daddy a su emmener son fils et ses hommes sur des sentiers ou la sensibilité est maîtresse et la mélodie est reine. Je suis, une fois de plus, conquis par cet album.
       César

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BLUES AGAIN

César - Juin 2022

  Le père, le fils et leur sacrée musique sont de  retour. Depuis une quinzaine d’années, David, suit le paternel, Vincent, sur les routes de France et de Navarre et c’est un cinquième album qui naît de leur collaboration fructueuse.
  Vincent fût un professeur émérite pour son rejeton surnommé à l’époque ‘Little Jimi’ qui dès son plus jeune âge s’est frotté à de grands noms du blues qui venaient jouer dans le café-concert de papa.
  Pour les soutenir, le batteur est Patrick Boileau et le bassiste, Etienne Callac qui, avec David, est aux chœurs. Et ceux-ci sont particulièrement soignés. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter ‘O’ Caroline’ de Robert Wyatt réarrangée pour les guitares, et ça sonne ! Ou bien ‘Man Of Constant Sorrow’ (Dick Burnett - BO du film O’ Brother). Avec ce titre, on est sur les traces de CSN&Y grâce à la délicatesse des arrangements qui est une marque de fabrique de la Family.
  Puisqu’on est au rayon « covers », citons aussi ‘Worried Life Blues’, l’iconique ‘Come On Into My Kitchen’ et enfin ‘My My, Hey Hey’ où la voix de Vincent semble survoler les deux guitares acoustiques, six et douze cordes. De la vraie dentelle. Reste au menu une huitaine de compositions signées par les deux Hofmann où l’on retrouve cette même musicalité qui est leur est chère.
  Avec la Hofmann Family, on est sous influence seventies. ‘Tell Me Why’ qui ouvre l’album aurait pu, par exemple, être un tube de CCR et puis il y a les mariages heureux des guitares acoustiques et électriques où les notes pleuvent de partout comme dans ‘Revolution Song’.
  Ce sont aussi des chansons qui sortent du registre « je t’aime / tu m’aimes » et cela décuple le plaisir de l’écoute tout comme dans ‘The Prophet’, ‘Get Away’ ou ‘Roll On Down The Road’. Avec sa « gueule » entre biker sauvage et envahisseur viking,
  Big Daddy a su emmener son fils et ses hommes sur des sentiers ou la sensibilité est maîtresse et la mélodie est reine. Je suis, une fois de plus, conquis par cet album.
       
    

Frenchy - N°35 Sept 2009

Ces groupes que seule la passion de la musique fait exister, il faut les chérir et les soutenir, car ils sont l'honneur de la musique dont nous partageons l'amour...Je vous aime les gars et on se retrouvera surement un de ces jours à partager une affiche, une bière ou un solo de guitare...

BLUES MAGAZINE

Frankie Bluesy Pfeiffer - N°47 Janv 2008

Fallait oser ils l'ont fait: un son digne d'une grosse prod... Big Daddy le père et Little Jimi le fils confirment bien la leurs surnoms: riffs cinglants, longues envollées de slide, tout y passe pour nous offrir du Blues pur jus, dense et bien pressé...Big Daddy et Little Jimi (Hendrix ?) ont du Blues plein les veines, de ce Blues chaud et bien rouge qui vous assure la vie ! y'a des clans comme ca, ou tout baigne...

CROSSROADS

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BLUES MAGAZINE

Christian Le Morvan - N°63 Janv 2012

Chez la famille Hofmann, le Blues est leur raison de vivre... Si vous aimez le gros son, vous allez etre gaté, ca riffe et ca slide de tous les cotés... Et bon sang, comment ca joue !

ZICAZIC

Fred Delforge - Janv 2012

Un riffeur né, un soliste inspiré... La voix du patriarche au look tout droit sorti de chez ZZ TOP... Un blues psychedelique parfois un peu folk aux couleurs changeantes, tout est réuni pour passer un bon moment...
Les Telecasters du père et du fils se lancent souvent dans des duels du plus bel effet... Que l'on soit plutot acoustique ou plutot électrique, plutot Blues/Rock ou plutot Folk/Blues, on ne résiste pas longtemps à l'appel des Hofmann...

BLUES MAGAZINE

Christian Le Morvan - N°53 Juil 2009 (voir interview au SALAISE BLUES FESTIVAL page 32 à 35)

Chez les Hofmann, la guitare est toujours à l'honneur, Vincent et David sont des virtuoses de la 6 voire de la 12 cordes...

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